Tour Tarquinia

La ville de Tarquinia ( Tarquinii en Latin et Tarch(u)na en étrusque, du nom du mythique Tarconte ) est une de plus anciennes et importantes installations de la dodécapolis étrusque. La ville a toujours eu des relations avec Rom, au point que entre les célèbres sept rois de Rom il y avez trois Etrusques ( Tarquinio Prisco, Servio Tullio et Tarquinio le Superbe ), qui ont joué un rôle très important dans l’histoire de la ville latine ( VII siècle av. J.C. ).

Tarquinia a souvent lutté contre Rom, jusqu’à elle a été soumise après la bataille de Sentino au début du III siècle av. J. C. A partir de ce moment la ville a fait partie des territoires romains dans la Région VII Etrurie. Dans le V siècle elle est passée d’abord sous le royaume romain-gotique de Théodoric, et après sous le duché longobard de la Tuscia. Dans le VIII siècle en fin la Tuscia fut d’abord annexée aux dominations carolingiens et après offerte au pape comme une partie du nouveau Etat de l’Eglise.

Probablement déjà à partir du VI siècle les habitants de la zone des Etrusques-Romains ont commencé à l’abandonnée, et cette tendance est devenue plus forte dans le Moyen Age, quand la ville rassemblait plutôt à un château fortifié. A partir du VIII siècle sur une colline à côté de la ville ancienne on commence à trouver les preuves de la présence du premier noyau de la ville actuelle, ce qui dans le Moyen Age sera le centre de Corneto, du nom de la forteresse de Corgnetum ( ou Cornetium ). En 1144 le centre est devenu une libre commune italienne, qui prenait des accords commerciaux avec Genova ( 1165 ) et Pisa ( 1177 ). Dans le XIII siècle elle a résisté avec valeur au siège de l’empereur Federico II, et elle s’est opposée aussi à l’Eglise, jusqu’à elle a été soumise au cardinal Egidio Albornoz ( 1355 ), restant stablement dans l’Etat Pontifical en ne partageant le destin. En 1435 le Pape Eugene IV a élevé Corneto à civitas et siège de l’évêque. En 1854 la diocèse de Corneto fut unie aeque principaliter à celle de Civitavecchia ; les deux ville deviendront une vraie diocèse ( Civitavecchia-Tarquinia ) en 1986.

 

Le Tour aura le programme suivant:

1) Nécropoles étrusque:

Elle s’étends pour environ 750 hectares, et elle est l’une de plus importantes entre les nécropoles connues, parce que elle est riche de tombe à chambre avec des décorations picturales. L’habitude de décorer les chambres sépulcrales n’est pas une prérogative de la ville de Tarquinia, mais c’est seulement ici que le phénomène rejoint des dimensions relevant, qui constituent une témoignage de l’évolution de la civilisation étrusque du VII au III siècle av. J. C. Jusqu’à aujourd’hui on connait environ 200 sépulcres avec des peintures ou des traces de peinture, et elle se trouvent seulement dans les tombes des nobles. Les images qui y sont reproduites reconstruisent autour de la figure du mort des scènes de sa vie quotidienne, comme pour souligner la continuité de la vie après la mort, une croyance commune à toutes les peuples de l’antiquité. Actuellement on peut visiter 14 tombes : les Tombes du Chasseur, des Jongleurs, de la Pulcella, Cardarelli, de la Fustigation, Fleur de Lotus, des Lionnes, des Gorgoneion, des Caronti, des Léopards, des Bacchantes, de la Chasse et la Pèche, 5513 et 5591.

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2) Musée étrusque:

Un vrai chef-d’œuvre architectonique de la Renaissance avec des éléments en style gothique et catalane, il fut réalisé par volonté du cardinal Giovanni Vitelleschi entre 1436 et 1439 grâce au projet de Giovanni Dalmata. Le Palais était la propriété d’une noble famille, sans doute la plus importante entre celles qui dominaient la vie politique, économique, sociale et religieuse de Corneto jusqu’au XVII siècle, quand les derniers héritiers, rentrés définitivement à Rom, ont vendu toutes leurs biens. Le Palais a alors été vendu aux enchères en 1892, après la faillite du dernier propriétaire, le Conte Soderini, et acheté par la mairie, qui l’a cédé à l’ Etat. Actuellement il loge le Musée National Etrusque, considéré l’un des plus importants d’Italie. La porte principale sur la place Cavour s’ouvre sur une courte trapézoïdale dans laquelle le coté sur le fond et celui sur la droite sont caractérisés par un portique avec 2 ordres à arc acute avec des décorations à deux couleurs en maque et en nenfre.

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3) Le centre historique:

La ville actuelle garde un marché caractère médiéval, souligné par les nombreuses tours, par les murs et les églises, la plus grandiose et importante de quelles est Santa Maria du Château, où l’on remarque des influences lombardes et des Cosma. Dans d’autres églises, comme celle de Saint Jacob ou celle de la Santissima Annunziata, on remarque des influences arabes et byzantines. Même les restes du Palais des Prieurs, certaines tours et l’église de San Pancrazio contribuent à créer le scenario médiéval de la ville. Dans San Pancrazio, comme en San Francesco et en San Giovanni, les formes gotiques se mélangent aux romanes. Le grand palais Vitelleschi, commencé en 1436 et terminé avec des élégantes formes de la Renaissance vers le 1439, est le siège du Musée national de Tarquinia. A la Renaissance appartient aussi les élégants peinture à fresque de Antonio del Massaro ( « il Pastura » ) situés dans la chorale de la cathédrale et ces d’un auteur inconnu dans le Palais Vitelleschi. A visiter donc : l’Eglise romaine de S. Maria au Château **, la Nouvelle Fontaine, le Palais Communal, l’Eglise de S. Francesco, la Panoramique.

Il Tour aura le programme suivant:

1) Les clients seront cherchés à l’heure et dans le lieu établîtes.

2) Nécropole étrusque

3) Musée étrusque

4) Centre historique:

 

Voiture:
1-8 passagers = € 300

Minibus:
de 1 à 10 passagers = 300 €
de 11 à 17 passagers = 30 € chaque passager

 

 * Le prix indiqués sont valides seulement si on part et on arrive à Tarquinia ou Civitavecchia.